J'ai à peine eu le temps de comprendre que soudain, Piwie était un bel oiseau monté sur le toit des voisins, prêt à s'envoler vers de nouvelles aventures.
Le matin, il était encore un oisillon hésitant faisant des allers et retours d'un bout à l'autre de ma cour, en rase-motte.
Le voici à la découverte du vaste monde mais je sais que ses parents veillent encore un peu sur lui. Il ne sait pas encore tout à fait se débrouiller tout seul.
Je suis contente qu'il ait pu se développer tranquillement à l'abri des chats, dans mon appentis, mais je comprends qu'il ait eu envie d'aller ailleurs.
Moi-même si j'avais des ailes...
2 commentaires:
Ah!Hélène si nous avions des ailes où irions nous?????
Car moi aussi je m'envolerais vers d'autres horizons,mon rêve serais l'Irlande ,une vaste étendue verte et rude,un petit cottage
et personne a des lieux a la ronde!
Et toi où irais tu?
Je t'embrasse,douillet dimanche a toi
L'Irlande sans doute aussi !!! Mais avec des ailes, ce qui est bien, c'est que tu ne te fixe plus nulle part. C'est génial, cette liberté, cette souplesse.
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